Histoire

HIER

Crée en 1875 sous le nom de Passage Laurence Savart, d’après le nom de la propriétaire terrienne qui lègue ses terrains à la ville de Paris, elle est classée dans la voirie parisienne par un arrêté du 1er septembre 1932.
Paris Caché

Au début du XXème siècle, la rue Laurence Savart abrite une guinguette (au numéro 2) mais aussi plusieurs immeubles d’habitation d’un architecte important du Haut Vingtième, Charles-Jean Delacroix (À voir : crèche de la Place Martin Nadaud, parfois baptisée « La maison du garde-chasse »).

Charles-Jean Delacroix a réalisé 5 immeubles encore existants rue Laurence Savart dont le numéro 16 et le numéro 18. La rue Laurence Savart est aussi connue pour avoir été photographiée au lendemain de la guerre par un célèbre amoureux du Vingtième Arrondissement, le Photographe Willy Ronis.

Vitrier rue Laurence Savart, Willy Ronis, 1948
La crèche Martin Nadaud par Charles-jean Delacroix, 1899
Le numéro 16  rue Laurence Savart (immeuble « rose » et le numéro 18 rue Laurence Savart (immeuble « vert »).

AUJOURD’HUI

Une « rue rurale », aimée des promeneurs, des habitants de Ménilmontant, des amoureux de Paris, mais aussi des artistes. Un espace de respiration précieux au cœur d’un quartier en pleine densification. Une rue citée dans les lieux à découvrir de « Paris Caché » d’Alice Lepic, en 2015.

Campagne de Mode, 2007
Instagram de Valentine Dimanche
Clément Gy, architecte et dessinateur, « Ballades dans l’Est Parisien »

Galerie

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